Transport Maritime: Le gouvernement algérien accorde des nouvelles licences aux opérateurs privés
Plusieurs nouvelles licences d’investissement privé ont été accordés par le ministère des transports en Algérie aux professionnels du secteur du transport maritime, mais il n’est pas prévu que ces projets entrent en service prochainement, en raison du retard dans l’achèvement de certaines mesures juridiques.
Le ministre des Transports Abdullah Moundji a révélé, lors d’une séance d’interrogatoire au Parlement aujourd’hui, jeudi, que les autorités avaient accordé une approbation initiale à 16 projets d’investissement pour le secteur privé dans le transport aérien, dont neuf projets liés au transport de passagers, expliquant que toutes les mesures de lancement de ces projets sont en cours d’achèvement à l’heure actuelle.
Le responsable algérien a confirmé que la flotte maritime pour le transport de marchandises en Algérie comprend 12 navires, en plus de deux navires appartenant au secteur privé, tandis que la flotte de passagers comprend 4 navires, dont un nouveau navire récemment acquis, d’une capacité de 1 800 passagers, et l’Algérie dispose d’un réseau de transport maritime pour les voyageurs à partir de sept gares. Un port maritime pour le transport de passagers, en attendant l’inauguration d’un nouveau terminal à Annaba, à l’est de l’Algérie. Le port de la capitale contrôle 64 % de l’activité portuaire totale, tandis que l’Algérie a 55 ports, dont 10 ports de commerce.
Cette annonce de l’octroi des licences à des investisseurs et hommes d’affaires pour la création de sociétés de transport aérien et maritime de passagers et de marchandises est la deuxième que fasse l’état algérien après celle lancée en février dernier par l’ancien ministre des Transports Issa Bakay.